Boekverslag : Albert Camus - La Peste
De taal ervan is Nederlands en het aantal woorden bedraagt 4697 woorden.

Samenvatting
Samenvatting:

Genre
Roman Social, psychologique

Thème(s) qui caractérise(nt) l'œuvre
La peste et le combat contre le mal, l'homme qui décide de ne pas enfuir mais aider l'autre. L'existentialisme.

Ton
réaliste et descriptif

Personnages principaux
Bernard Rieux
C'est le narrateur et donc le personnage central. Il est docteur et il essaie de donner une chronique objective des incidents à Oran. C'est un homme très patient envers ses amis et ses patients. Il semble toujours pressé mais il essaie de faire un peu de temps pour tout le monde. Il est un idéaliste, mais il a oublié pourquoi. À page 103 il dit à Tarrou qu'il ne sait pas justement pourquoi il est devenu docteur, mais qu'il veut défendre les gens contre le mort. À cette page il donne aussi un citation typique de l'existentialisme : s'il croyait en un dieu tout-puissant, cesserait de guérir des hommes, lui laissait alors son soin…Puisque l'ordre du monde est réglé par la mort, peut-être vaut-il mieux pour Dieu qu'on ne croie pas en lui et qu'on lutte de toutes ses forces contre la mort, sans lever les yeux vers ce ciel où il se tait. Avec ces mots il veut dire que s'il y a un dieu on ne peut pas justifier le fait qu'il continue à tolérer la souffrance, et c'est alors mieux de ne pas croire en Dieu et de faire tout possible de délivrer des hommes de la souffrance. C'est pourquoi il est devenu docteur et c'est aussi pourquoi il est athée. Après la mort du fils d'Othon le père Paneloux lui dit que nous devons aimer ce que nous ne comprenons pas, il répond : (p199) Non, mon père, je me fais une autre idée de l'amour. Et je refuserai jusqu'à la mort d'aimer cette création où des enfants sont torturés. Pendant que la peste est active il devient de plus en plus fatigué, mais il continue à écouter quand quelqu'un veut lui parler.
Il parle très peu de lui-même. Il manque sa femme qui a quitté la ville avant que la peste ait éclaté. (P89) Et, le jour où Rambert lui dit qu'il aimait se réveiller à quatre heures du matin et penser à sa ville, le docteur n'eut pas de peine à traduire du fond de sa propre expérience qu'il aimait imaginer alors la femme qu'il avait laissée. Ici une comparaison est donnée entre Rieux et Rambert. Rambert qui dit toujours beaucoup de son amour et Rieux qui pense à sa femme en silence. Pour lui la plus grave de la peste est qu'il est séparé, isolé de sa femme. Il s'inquiète et il regrette qu'il ne puisse qu'envoyer des télégrammes. Alors il ne sait pas exactement comment sa femme va. Quand la ville se réouvre la peste reste durer pour lui, pas seulement parce que sa femme ne va jamais retourner, mais aussi parce que la peste a emmené beaucoup d'autres personnes et il n'a pas pu l'éviter. (p237) Pour ceux-là, mères, époux, amants qui avaient perdu toute joie avec l'être maintenant égare dans une fosse anonyme ou fondu dans un tas de cendre, c'était toujours la peste. Il a perdu de la peste, il n'a pas pu le convaincre et alors elle reste avec lui. À travers le livre il s'ouvre de plus en plus. Dans la citation de la page 89, il se tait encore au sujet de sa femme. Quand il reçoit la télégramme qui dit que sa femme a mort il peut raconter sa mère comment il l'a attendu et comment il se sent. (p234) Puis il dit à sa mère de ne pas pleurer, qu'il s'y attendait, mais que c'est quand même difficile.

Raymond Rambert
Rambert est un journaliste qui est venu à Oran pour faire un enquête sur les conditions de la vie des Arabes quand la peste éclate. Il n'y a qu'un seul désir : quitter la ville. Il veut retourner à Paris parce qu'il veut être avec son amie. La peste pour lui est la séparation de son amour et aussi le fait qu'il ne le peut pas accepter. Il peut convaincre la peste parce qu'enfin il peut vivre avec la séparation et au fin il la revoit. C'est aussi son impuissante de voire des choses d'un autre côté. À la page 70 il demande à Rieux un certificat qui dit qu'il n'a pas de la peste et il peut alors quitter la ville. Quand Rieux le refuse et se fâche un peu, il ne peut pas comprendre la point de vue de Rieux, il l'essaye même pas. Si, cela vous regarde, je suis venu vers vous parce qu'on m'a dit que vous aviez eu une grande part dans les décisions prises. J'ai pensé alors que pour un cas au moins, vous pourriez défaire ce que vous aviez contribué à faire. Mais cela vous est égal. Vous n'avez pensé à personne. Vous n'avez pas tenu compte de ceux qui étaient séparés. En fait, il comprend ses fautes et il comprend qu'il ne peux pas penser uniquement à soi-même, mais qu'il y a aussi d'autres personnes avec leur problèmes et leur vies qui sont bouleversées. La meilleure preuve de ça est la fait qu'il reste dans la ville, même quand il peut partir. C' est un homme qui dit ce qu'il pense mais pas ce qu'il sent. Il fait très vite une jugement sans y vraiment réfléchir. Pendant une conversation avec Tarrou et Rambert il les dit : (p132) Vous deux, je suppose que vous n'avez rien à perdre dans tout cela. C'est plus facile d'être du bon côté. Cette citation prouve qu'il n'a pas vraiment considéré les situations de Rieux et Tarrou. Il n'en a pas prendre compte qu'il n'est pas la seule personne qui est déranger par la peste. Il pense que toute soit plus difficile pour lui. Après Tarrou lui dit que Rieux aussi est séparé de son amour, il se rend compte qu'il a jugé trop vite. Il ne dit pas à Rieux comment il en pense, mais il offre de travailler avec lui contre la peste. C'est sa manière de montrer qu'il avait tort de dire que tout est plus difficile pour lui. Pendant l'histoire il songe plus profondément et il devient plus sérieux. Il s'entend bien avec Rieux parce qu'il est une des premières personnes qu'il a rencontrée à Oran. Il dit à Rieux quand il a décidé de rester à Oran: (p 190) Mais il peut avoir la honte à être heureux tout seul. Cette histoire nous concerne tous. Il se sent maintenant à l'aise dans la ville et plus un étranger.

Joseph Grand
Grand est un employé, il est un ancien patient de Rieux. Il s'occupe beaucoup de son voisin Cottard après que celui-ci a essayé de se suicider. Grand est un homme retiré est même mystérieux. Il ne dit rien au sujet de son passé et de sa femme Jeanne qui l'a quitté il y a des années. Il a l'air très mystérieuse au sujet de son grand travail, un livre qu'il est en train d'écrire. Il semble qu'il est encore en train de formuler la première phrase parce que tout doit être parfait. Finalement il craque et il confie toute sa tristesse à Rieux : (p236) Il y a trop longtemps que ça dure. On a envie de se laisser aller, c'est forcé. Ah ! Docteur ! J'ai l'air tranquille comme ça. Mais il m'a toujours fallu un énorme effort pour être normal. Alors maintenant, c'est trop. Cette citation est pris justement d'abord il tombe malade de la peste. Il est fatigué, il ne se sens pas bon, c'est simplement trop, il n'en peux plus. Nous pouvons nous demander s'il craque parce qu'il est en train de recevoir la peste ou s'il reçois la peste parce qu'il a perdu courage. C'est claire que pour lui la peste est tout le mal qui lui est arrivé dans sa vie, souvent parce qu'il n'ose pas se laisser entendre. Il vise déjà toute sa vie la poste de chef de bureau, mais il l'a jamais reçue. Il ne peut pas exprimer ses sentiments, c'est pourquoi sa femme l'a quitté. Dans sa lettre elle disait : (p67) Je t'ai bien aimé, mais maintenant je suis fatigué…Je ne suis pas heureuse de partir, mais on n'a pas besoin d'être heureuse pour recommencer. Avec cette lettre elle disait qu'elle ne peut pas vivre avec quelqu'un qui est si silencieux. Elle sait qu'il l'aime, mais toute leur vie existe de travailler et d'attendre la promotion de Grand. Peut-être s'il avait trouvé les bons mots, elle était resté, mais il n'a pas pu s'exprimer et il l'a laissée aller. Elle ne pouvait plus, comme lui, elle a tout avalé et enfin c'est trop. Pour Grand aussi un moment vient où tout est trop. Il rend compte que sa vie était vide parce qu'il a toujours vécu des rêves. Il prouve ça quand il fait brûler ses notes de son livre. Il pense que ce n'est plus important et il ne va jamais atteindre quelque chose avec une phrase. Il guérit de la peste et il a de nouveau courage. Il s'exprime mieux, il écrit même une lettre à Jeanne. Il a convaincu la peste par laisser s'aller et pour une fois accepter ses tristesses et les exprimer. La peste lui fait plus fort et lui apprend beaucoup. Il apprend que ce n'est pas mal de s'occuper de lui même et il ne doit pas toujours se mettre dans l'ombre comme il fait avec son travail comme employé et aussi avec faire les chiffres dans l'hôpital. À la page 245, après sa maladie, il dit qu'il a supprimé tous les adjectifs dans sa phrase. Alors il veut dire qu'il voit maintenant ce qui est important et ce qui est superflu. Il ne vit plus dans la passée en essayant de voire ce qu'il n'a pas fait bien, mais il a tout effacé sauf les choses essentiels et il est recommencé, pas seulement dans sa phrase, mais aussi dans son vie.

Jean Tarrou
Tarrou est un homme riche qui habite dans un grand hôtel du centre depuis quelques semaines. D'abord on ne sait presque rien de lui. Il aime les plaisirs normaux. Il écrit des carnets sûr tout. Il veut décrire la vie quotidien des gens normaux. Ce sont des carnets avec peu de subjectivité dedans. Il raconte des choses que tout le monde trouve banal et superflu à retenir. Il raconte seulement de petites choses comme une conversation qu'il a entendu. À page 20 le narrateur dit qu'avec ses carnets Tarrou essaye de se faire l'historien de ce qui n'a pas d'histoire.
Il essaie de dissimuler son passé. Il a fait de la politique et enfin il a découvert que la monde est hypocrite et qu'il l'était aussi hypocrite. Il a commencé avec la politique parce qu'il veut arrêter les condamnations à morte. Comme enfant il a vu que son père qui était avocat, a fait quelqu'un condamné à mort. Dès ce moment il a eu un dégoût de son père et des condamnations à mort. Dans son carrière de politique il a aussi vu fusiller des hommes. Il savait qu'il tombait quelque morts, mais on lui a dit que c'est pour améliorer la civilisation. Peu à peu il s'est rendu compte qu'il était comme tout le monde il a battu. Il fait des mêmes fautes. (p201) J'ai compris alors que moi, du moins, je n'avais pas cessé d'être pestiféré pendant toutes des longues années où pourtant de toute mon âme, je croyais lutter justement contre la peste. Il est venu á Oran loin de ses fautes et tout dont il ne veut pas faire partie. C'est surtout loin de la politique et des hommes qui ne sont pas ce qu'il semble. Aussi son père fait partie de tout ça avec les autres avocats, les défendeurs de la "justice". Tarrou dit très claire ce qu'il pense d'eux : (p202) Mon affaire à moi, ce n'était pas le raisonnement. C'était le hibou roux, cette sale aventure où de sales bouches empestées annonçaient à un homme dans les chaînes qu'il allait mourir et réglaient toutes choses pour qu'il meure, en effet, après des nuits et des nuits d'agonie pendant lesquelles il attendait d'être assassiné avec les yeux ouverts. C'est alors aussi claire que pour lui la peste est les gens qui assassinent et surtout ceux qui le fait pour le "loi". Il cherche maintenant la paix pour combattre la peste (au sens figurée). Il pense pouvoir trouver la paix à aider les victimes de la peste ensemble avec Rieux et les autres, comme il dit à Rieux à la page 204. Il s'entend très bien avec Rieux et c'est enfin à lui qu'il raconte son passé. C'est évident qu'il a beaucoup réfléchi et qu'il ne réussit pas à oublier : (p196) Rieux, dit Tarrou, sur un ton très naturel, vous n'avez jamais cherché à savoir qui j'étais ? Avez-vous de l'amitié pour moi ? De cette citation nous pouvons déduire comment Tarrou pense de lui même, il n'est pas sûr si quelqu'un peut lui donner de l'amitié. Il n'est pas sûr s'il mérite de l'amitié. Il devient un de derniers victimes de la peste. Rieux reste avec lui jusqu'à sa mort. (p232) Déjà, à cette époque, il avait pensé à ce silence qui s'élevait des lits où il avait laissé mourir des hommes…, que Rieux sentait bien qu'il s'agissait cette fois de la défaite définitive, celle qui termines les guerres et fait de la paix elle-même une souffrance sans guérison. Il ne peut pas se pardonner ses fautes, même pas dans son lit de mort. La paix est ainsi une souffrance sans guérison. Il subi la peste, son souffrance, comme un puni et il ne peut que mourir parce qu'il ne peut que trouver la paix sans guérisons, la mort.

Cottard
Nous rencontrons Cottard après qu'il a décidé de se pendre. Il est désespéré et en larmes. Ce personnage reste aussi un peu mystérieux. Il et Grand semblent s'entendre bien et il est le seul qui jouisse de la peste. À la page 155 Tarrou donne une exemple des remarques typique de Cottard au sujet de la peste : Bien sûr, ça ne va pas mieux. Mais du moins, tout le monde est dans le bain. Avant la peste il se sentait menacé parce qu'il craignait une arrestation. Maintenant il n'est plus menacé par un arrêt, mais il risque de mourir suit à la peste. Mais d'abord il était seul dans son crainte, maintenant tout le monde est exposé au même danger. Il ne se sent alors plus seul, mais il s'en prends compte que tout le monde sent ce qu'il a senti et ça lui rend heureux. Aussi à la page 155 Tarrou récite quelques mots de Cottard : Avez-vous remarqué qu'on ne peut pas cumuler les maladies ? Supposez que vous ayez une maladie grave ou incurable, un cancer sérieux ou une bonne tuberculose, vous n'attraperez jamais la peste ou le typhus. C'est idée met Cottard en bonne humeur. Il pense qu'il ne peut pas attraper la peste parce qu'il souffre déjà de quelque chose. La peste est pour lui une cachette où il peut de nouveau vivre sans qu'il aille la peur d'être arrêter. Sa peste est la craint de l'être prisonnier tout seule, mais maintenant toute la ville est en prison. Il a très peur de la police et on le trouve beaucoup dans des bars louches. C'est lui qui aide Rambert à quitter la ville. On peut conclure qu'il fait des activités criminelles : (p38) On ne peut pas toucher à un malade, à un homme qui s'est pendu, n'est-ce pas, docteur ? Quand le fin de l'isolement s'avance, Cottard s'inquiète un peu, mais il essaie de se rassurer par dire que tout le monde devra recommencer. Il espère qu'on repart de zéro, que tout d'avant la peste seront effacé. Alors ses crimes étaient effacées et il peut faire ce qu'il veut. Mais il sait aussi que tout le monde veut oublié la peste en faisant ce qu'on a fait avant la peste. Tout le monde veux tout mettre dans l'anciens état, l'état qu'il craigne Quand la peste est finie, la peur d'être arrêté est si forte qu'il craque et devient fou. Il commence tirer de son appartement sur les passants. La police peut enfin l'arrêter, il ne cesse pas de crier quand on lui emmène. Il n'a pas peut vaincre sa peste, quand il avait vu qu'il est de nouveau seul, sa peste a pris contrôle de lui. Nous ne savons pas ce qui arrive avec lui après.

Paneloux
Paneloux est un prêtre très important, il a beaucoup d'influence sur les habitant d'Oran. D'abord il est convaincu que la peste est une punition de Dieu et qu'on doit la subir parce qu'on l'a méritée Tout au début de l'éclate de la peste il fait une prêche, il le commence avec les mots : (p77)Mes frères, vous êtes dans le malheur, mes frères, vous l'avez mérité… La première fois que ce fléau apparaît dans l'histoire, c'est pour frapper les ennemis de Dieu. Pharaon s'oppose aux desseins éternels et la peste le fait alors tomber à genoux. Depuis le début de toute histoire, le fléau de Dieu met à ses pieds les orgueilleux et les aveugles. Méditez cela et tombez à genoux. Avec l'aide de ces mots nous pouvons tout de suite comprendre qu'il a une croyance complet, et qu'il met tout en Dieu. Il aide aussi Rieux et les autres à combattre la peste. Après qu'il a vu la mort d'un enfant innocent et qu'il en a parlé à Rieux, il commence à perdre sa confiance en Dieux. Il ne l'avoue quand même pas. Sa prêche après cet événement est plus douce et hésitante qu'au début. Il finit par dire : (p179) Mes frères, l'instant est venu. Il faut tout croire ou tout nier. Et qui donc, parmi vous, oserait tout nier. Il ne dit plus vous, mais nous, ça signifie qu'il se sent moins comme une force qui doit pousser les gens dans la bonne direction, mais qu'il se sent une partie d'eux. Nous pouvons conclure qu'il va, désespéré, croire tout. Toute sa vie il a tout mis a Dieu et s'il avoue maintenant qu'il avait tort, il a vécu un mensonge. Alors il continue à croire en Dieu. Tarrou dit au sujet de Paneloux quelque mots significatifs : (p183) Paneloux a raison. Quand l'innocence a les yeux crevés, un chrétien doit perdre la foi ou accepter d'avoir les yeux crevés. Paneloux ne veut pas perdre la foi, il ira jusqu'au bout. C'est qu'il a voulu dire. Un peu plus tard il devient malade et il meurt en faisant semblant de se confier à Dieu. Mais c'est claire que la peste a infesté son âme et la doute lui a dévoré. (p211) Merci, dit-il, mais les religieux n'ont pas d'amis. Ils ont tout placé en Dieux. Ce sont ses dernières mots et c'est aussi une autre preuve qu'il veut absolument garder son foi. Il voit l'amitié de Rieux comme une menace parce qu'il sait qu'il en a besoin et il n'en aurait pas besoin si son foi en Dieu était complet. C'est pourquoi il rejette l'offre d'amitié de Rieux. Il meurt avec un regard qui n'exprime rien. On n'est pas vraiment sûr qu'il meurt de la peste, sur son fiche on a écrit : cas douteux. Ça peut être symbole pour le fait qu'il doute son foi. Ça peut aussi dire qu'il a pouvait dissimuler sa doute de sorte qu'on ne voit (ou peut-être voie) pas sa peste. Il a tout de même perdu la partie comme Rieux, Tarrou et Cottard.

Résumé
Oran, une ville en Afrique est frappée pas la peste. Après la mort soudaine de beaucoup de rats, aussi les habitants commencent à devenir malade. La plupart meurt. Rieux, le docteur ne sait pas quoi faire. Rieux utilise le mot "peste" pour la première fois quand il parle avec un collègue. Mais personne n'ajoute foi à eux. Ils doivent convaincre les autorités qu'on doit prendre des précautions. Enfin on ferme la ville. D'abord personne ne craint ce qui se passe, mais ils essaient d'oublier la peste et ils se disent que la peste ne peut pas les toucher. Finalement ils sont prêtes à combattre la peste. Tout le monde essaient à aider docteur Rieux. Quand ils commencent à désespoir le sérum de Castel commence à guérir les personnes et la mortalité diminue. Environ une mois plus tard la ville est réouverte et les gens fêtent et jouissent, oubliant qu'un fléau peut frapper eux et leurs familles de nouveau.

Lieu d'action
Oran, une ville ordinaire et rien de plus qu'un préfecture française de la côte Algérienne. (p11)

Milieu social
Le milieu est une mixe de toutes sortes d'hommes : docteur, des gens riches et pauvres, des employé,…

Epoque
Les curieux événements qui font le sujet de cette chronique se sont produits en 1940 et les années suivantes. (p11)

Jugement


Le titre correspond-il au contenu ?
Oui, le titre correspond au contenu parce qu'il s'agit de la peste.

Autre titre proposé
"Comment peut-on survivre à la solitude et au isolement pendant la peste."

Quelques découvertes
A) Signalez un sujet (passage, chapitre) particulièrement bien traité
P264 : Une chaleur de vie et une image de mort, c'était cela le reconnaissance. Voilà pourquoi, sans doute, le docteur Rieux, au matin, reçut avec calme la nouvelle de la mort de sa femme…Puis il dit à son mère de ne pas pleurer, qu'il s'y attendait, mais que c'était quand même difficile. Simplement, il savait, disant cela, que sa souffrance était sans surprise. Depuis des mois et depuis deux jours, c'était la même douleur qui continuait.

Nous l'avons choisi parce qu'on peut trouver dans l'extrait qu'après des mois de douleur et de la misère, on devient peu à peu insensible parce que la misère continue, la maladie continue,… Il est triste mais il s'y attendait ; c'est un peu comme il a prévu qu'après toutes les choses mauvaises, sa femme ne guérirait plus. Il accepte son sort.

B) Recopiez une pensée, une réflexion, un diction ou une tournure remarquable,…
P222 : Disons pour simplifier, Rieux, que je souffrais déjà de la peste bien avant de connaître cette ville et cette épidémie. C'est une réflexion de Tarrou. Nous l'avons choisi parce que c'est une phrase qui résume une jeunesse complètement dominée par un fait. Son père était avocat général et il a demandé à son fils de venir écouter une affaire importante en courte d'assises. Quand il était en train de l'écouter il a compris qu'ils voulaient tuer ce coupable et son père avait dû aussi assisté plusieurs fois à un assassinat. Il assistait aussi l'assassinat de ce coupable de qu'on parle ici. Tous les personnages sont liés à la peste. Ici Tarrou est aussi lié à la peste. La peste est pour lui le fait que son père a assisté à tuer des hommes. Ça n'a rien à faire avec la maladie littéralement, mais avec une maladie plutôt psychologique. Il croyait que son père avait un caractère plutôt doux (p225) en tout cas, mais il ne voulait jamais faire la même profession que lui. Pourtant il était vraiment intelligent : (p222) J'étais à l'aise dans l'intelligence. Il aimait son père, mais pas ce qu'il a fait donc il n'a jamais pu lui pardonner les choses qui sont passées. Nous pensons que Tarrou, lui-même, était totalement surpris par le fait que son père doux pouvait tuer des gens. (p224) Il est transformé par sa robe rouge. Son père devient donc une autre personne quand il est avocat général.

C) Sélection : Transcrivez un extrait court, mais de qualité, présentant une unité, et auquel vous donnez un titre.
P198-199 Le combat entre l'athée et le chrétien Ah, celui-ci, au moins était innocent, vous le savez bien ! Pourquoi m'avoir parlé avec cette colère ? dit une voix derrière lui. Pour moi aussi ce spectacle était insupportable. Rieux se retourna vers Paneloux. C'est vrai, dit-il, pardonnez-moi, mais la fatigue est une folie. Et il y a des heures dans cette ville où je ne sens plus que ma révolte. Je comprends, murmura Paneloux, cela est révoltant parce que cela passe notre mesure. Mais peut-être devons-nous aimer ce que nous ne pouvons pas comprendre. Rieux se redressa d'un seul coup. Il regardait Paneloux avec tout la force et la passion dont il était capable, et secouait la tête. Non mon père, dit-il, je me fais une autre idée de l'amour. Et je refuserai jusqu'à la mort d'aimer cette création où des enfants sont torturés.

Nous avons choisi cette extrait parce qu'il prouve que le livre est philosophique, c'est représentant pour l'existentialisme. Un existentialiste voit le monde, l'univers plus sombre que ,par exemple, un humaniste, mais ce sont plutôt les mêmes choses. Rieux ne croit pas dans un monde qui tue des enfants. Il est aussi athée. Il fait une analyse de la situation de l'homme en croyant que Dieu est mort.
Paneloux dit qu'il doit aimer Dieu, mais Rieux ne le peut pas parce qu'il ne croit pas en Dieu. Paneloux dit : On ne pourra jamais comprendre pourquoi Dieu laisse passer une chose terrible comme ça, mais on doit aimer, croire en Dieu. On ne pourra jamais comprendre quelque chose comme la mort. Rieux réagit autrement : Je voulais prendre ma responsabilité. Quelqu'un qui est existentialiste se sent très responsable envers les autres. Pas lui-même l'intéresse, mais les autres, il est donc pas du tout égoïste.

Intérêt
A. Vous jugez ce livre: intéressant et émouvant
C'est un livre intéressant parce que nous avons appris quelque chose sur des fléaux et sur la peste. Ca n'existe plus maintenant. Et nous avons appris aussi comment les personnages dans ce livre essayent à se débrouiller pendant le fléau et comment tout le monde change a cause de la peste. C'est intéressant à savoir ce qu'on fait quand on a un fléau comme ça. Le livre est émouvant parce qu'on trouve beaucoup d'émotions dans tout le livre. Camus décrit des émotions humaines et tout le monde est capable de les reconnaître.

C. Donnez votre avis sur l'ouvrage, les thèmes, les thèses. Les personnages, les sentiments suscités
Dans ce livre on a décrit ce qui se pourrait vraiment passer. On lit des émotions qu'on peut reconnaître, par exemple les réactions des personnages sur la mort du fils d'Othon et la réaction de Rieux sur la mort de la femme. Dans ce livre toute la société a été touché par la maladie et cela fait que les émotions d'une personne deviennent celles d'une société. Comme maintenant tout le monde est égale et menacé par le même danger.

D. Vous a-t-il amené à concevoir ou à revoir une opinion personnelle ?
Oui
A quel propos
La maladie fait partie de la vie (comme le vieux asthmatique le disait). Moi je pensais autrefois que la maladie était quelque chose d'inattendu et très grave, mais en fait c'est presque normal.

Auteur
Biographie sommaire
Camus naît en 1913 et meurt après un accident de voiture en 1960. Il a eu une jeunesse très pauvre dans la capitale d'Algérie. Il étudiait la philosophie et écrivait beaucoup de livres. « La Peste » est son plus célèbre. Il l'a écrit en 1947. Il recevait le prix Nobel en 1957 pour son œuvre entière.

Autres œuvres
« Le Mythe de Sisyphe » (essai)
« L'étranger »
«La Chute »
« L'exil et le royaume »

Tendances générales d'après sa vie et son œuvre
On voit dans toutes ses livres une tendance d'écrire de la philosophie. Surtout l'existentialisme mais on est plutôt d'avis que Camus n'est pas vraiment un philosophe. Il est moraliste. Ce qu'il peut n'est pas si fort. Il n'a pas beaucoup de nouvelles idées. Mais il a eu une grande influence sur d'autres écrivains. On doit quand même interpréter « La Peste » sur un niveau philosophique : le pessimisme en ce qui concerne le sort de l'homme et l'optimisme quand l'homme aide les autres au lieu de s'enfuir. On combat le mal dans la vie et on conscience du sort de l'homme.


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