Boekverslag : Richard De Boeck - Toile D'araignée
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Toile d’araignée – Richard De Boeck samenvatting



1 Tu danses bien, tu sais !



On se trouve à une fête. Il y a une fille qui sait danser très bien. Elle s’appelle Aurélie. Tout le monde regarde comme elle danse. Un garçon, Rodric, commence à parler avec Aurélie et il dit qu’elle sait danser très bien. Rodric est un copain de classe. Quand la music repris ils se forment. Serait-ce le coup de foudre ? Aurélie connaît Rodric à peine. Quand le slow touche sa fine, ils commencent danser le rock and roll. Rodric transpire, alors il vont prendre l’air. Quand 2 copains de classe se mêlent, le grand-père vient chercher à Aurélie. Le grand-père d’Aurélie s’appelle monsieur Belcoeur. Elle la porte à la maison. Aurélie habite dans un appartement de grand luxe.



2 L’amour n’a pas d’âge



Rodric habite dans une petite maison. Ses parents ont quittés. Le dimanche matin il se réveille vers 10 heures. Il pense à Aurélie et il a peur de cette nouvelle rencontre. La maman de Rodric, madame Delcastel, a une grande nouvelle. Elle raconte qu’on va déménager dans un appartement spacieux grand luxe du côte de Versailles. Rodric ne veux pas tellement changer d’école. Il n’est pas si heureux avec la nouvelle. Maman raconte qu’elle a rencontré un monsieur qui a beaucoup de sympathie pour elle. Il est un peu plus âgé qu’elle. Ils se voient depuis quelque temps et ils s’aiment beaucoup. L’homme qui elle a rencontrer, Gérard, a une femme mais il ne peut pas divorces à cause de certains intérêts comme des affaires, ... Gérard est un P.D.G des entreprises Vernhes. Rodric promet à sa mère d’être gentil quand il verra Gérard.

Rodric dit à sa mère qu’il doit aller chercher un cahier chez son ami Christophe et il va chercher la maison d’Aurélie avec sa mobylette. Il rencontre un autre ami, Philippe. Rodric ne trouve pas la maison d’Aurélie, alors il va chez Christophe.



3 Un mort violente



Monsieur et Madame Belcoeur vont manger dans le restaurant « La Lieutenance ». Quand ils ont fini, Monsieur Belcoeur dépose sa femme dans l’Île Saint-Louis. Il y a encore bien du trafic. Il est pressé de rentrer. Encore quelques kilomètres et il sera chez lui dans sa maison. Il regarde dans le rétroviseur. Une Peugeot noire vient d’allumer son clignotant. Il la laissera passer d’abord. Mais le Peugeot ne depasse pas. Monsieur Belcoeur s’énerve. Par la vitre baissée de la portière avant, une mitraillette est pointée sur lui. Il n’a pas le temps de réagir, la salve part déjà. Un fraction de seconde plus tard, la Peugeot repart à toute vitesse. La voitur de monsieur Belcoeur s’écrase. L’ambulance et la police arrive. Quelques gens ont vu le Peugeot noir et ils ont entendu des coups de feu. Inspecteur Jacques pense à un règlement de comptes entre mafiosi. C’est tout à fait leur style.



4 Une veuve pas trop triste



Lundi matin, 10 heures, quartier de la Défense. Jacques et Michel entrent. Il vont parler avec madame Belcoeur. Il entre dans un bureau. Il y a un grand piano à queue. Les inspecteurs raconte à madame Belcoeur que monsieur Belcoeur à eu un accident et qu’il a été victime d’un attentat, et ils demandent quelques questions. Quand ils sortent, les inspecteurs commencent avec réfléchir. Ils pensent que c’est une société bidon et que la société Vernhes n’est pas qu’elle prétend être.



5 Parler à une fille n’est pas facile



Lundi matin. Rodric s’éveille avant que le radio-réveil le tire de son sommeil. Il n’est que 5 heures. Rodric a un problème avec sa mobylette. Il téléphone Philippe mais sa mère ne sait pas où il se trouve. Rodric prend la métro et va à l’école. Quand c’est la récréation, Rodric veux parler à Aurélie, mais elle n’est pas seul, elle se trouve dans le groupe et on parle du week-end. Un peu avant la fin des cours, le recteur du lycée entre et il demande à Aurélie de le suivre. La maman de Aurélie, madame Bertelet se trouve dans le bureau du préfet. Elle raconte que la grand-père est mort. Il arrivent à l’hôpital. Madame Bertelet voudrais seulement encore une fois voir son père. Mais elle doit revenir dans quelques heures ou une autre jour. Son père a été grièvement touché et ils ne le reconnaîtraient pas. Le dernier souvenir qu’on garde d’un être qui vous est cher est très important.



6 Ce que femme veut...



Philippe se réveil. Il se sent très malade. Il est seul dans la chambre. Il se rappelle tout... Il avait eu un conversation avec un homme de 50 ans. Il s’appelle Yves Perrin. Il veut faire une blague à un ami.. il dit. Il demande à Philippe si il sait faire démarrer une Peugeot 505 sans clef de contact. Il lui donne 5000 F si il fait tout. Philippe veut 10000 F. Il y a aussi une femme, Nadia, une amie d’Yves. Yves donne 6000 F si Philippe fait le travail. Nadia et Philippe se trouvent dans u nouveau quartier aux abords de la ville. Yves n’est pas venu. Nadia a l’argent dans sa poche. Philippe fait qu’il doit faire. Nadia sort l’enveloppe de sa poche et la remet à Philippe que en vérifie le contenu. Nadia demande à Philippe si il veut encore rester avec elle. Il se souvient d’une discothèque, elle l’a fait boire et finalement, elle l’a entraîne dans une maison. Maintenant il a peur. Il se lève. L’argent est disparu. Il va dans un magasin et demande où il se trouve.



7 L’enquête démarre



Tout l’histoire de monsieur Belcoeur se trouve dans le journal « France-Soir » en première page. La mère de Rodric, Valérie Delcastel voit l’article. Elle s’est sentie comme paralysée. C’est la fin d’un rêve. Philippe aussi voit l’article. Il lit « Une Peugeot noire.. ». Philippe s’énerve de plus en plus. Si la voiture en question &tait celle qu’il avait volée, il serait complice d’un assassinat !! Si la Peugeot est celle qu’il a volée, le conducteur de la Citroën doit être mêlé à l’affaire. Il va a une cabine téléphonique. Il téléphone le police et dit la plaque d’immatriculation de la Citroën et que la Citroën est mêlé à l’attentat de dimanche soir au quartier de la Défense. Il ne dit pas son nom et raccroche. Les inspecteurs vont chez un détective privé, un certain Jean-Louis Delporte, mais il n’est pas là.



8 Au cimetière du père-la chaise



Le cortège funèbre s’arrête devant le perron où le prêtre de 2 enfants de choeur l’attend. La dépouille de Monsieur Belcoeur est portée dans l’église. Valérie Delcastel et Rodric se sont installés au dernier rang. Il vont au cimetière. Philippe se trouve aussi au cimetière. Philippe raconte l’histoire et qu’il cherche Nadia. Rodric va aider Philippe. Aurélie remarque Rodric et il parlent un peu. Quelques instants plus tard ils se trouvent seuls dans la rue. Les autres sont partis en voiture. Rodric raconte l’histoire à Aurélie que Philippe à raconté. Ils ne savent pas si c’est vrai. Ils vont chercher cette Nadia. Ils se trouvent dans un café. Ils demande à le garçon s’il connaît Nadia. Il dit qu’elle est beaucoup avec Jean-Louis Delporte.



9 La rue qui n’existait pas



Aurélie ne va pas à l’école. Elle va dans un café. Quand la cathédrale sonne, elle va à l’appartement de sa grand-mère sans être vue. Elle voit un carnet d’adresses et elle note à tout hasard le numéro d’un madame Bélinda et elle va à l’école. Elle raconte tout à Rodric. Il vont ensemble chercher cette dame Bélinda où Nadia. Il ne trouve pas la rue.



10 Chez la cartomancienne



Rodric et Aurélie entre l’appartement où se trouve le détective. Il voient une plaque « Madame Bélinda ». Madame Bélinda entre. Elle pense que Rodric et Aurélie sont là pour une consultation. Aurélie tire quelques cartes, et Madame Belinda fait son métier. Maintenant ils savent que Bélinda est Nadia. Quand ils sortent, Philippe agresse Nadia et veux son 6 mille francs. Nadia dit qu’elle ne le connaît pas. Il saisit la fille des 2 meins et la lance contre un mur. À ce moment, 2 hommes sortent d’une voiture, se jettent sur lui et l’immobilisent. Philippe doit les suivre au bureau. Nadia veut filer à l’anglaise, mais elle doit aussi venir. Rodric et Aurélie vont aussi au bureau.



11 La vengeance d’une femme



L’exécutant était le détective pourvu qu’on le paie. Il a tout avoué et même donné le nom de son complice à la police qui les a écroués tout les deux. S’ils n’avaient pas eu besoin de l’aide de Philippe pour voler une voiture et si Aurélie n’avait pas trouvé le carnet, la police chercherait encore.
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